Des gains de temps et de coûts amplement significatifs
La médiation bancaire constitue un moyen de préservation de la pérennité et la durabilité des relations et des liens commerciaux entre les parties, a souligné, mercredi à Casablanca, le vice-président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) en charge du soutien à l’entrepreneuriat Khalid Benjelloun.
La médiation bancaire développe et améliore les relations pour une plus grande satisfaction des parties, a-t-il indiqué lors de la 3ème Matinale de la Commission TPE-PME, GE-PME et auto-entrepreneur organisée par la CGEM, notant que ce mode alternatif dans la résolution des litiges permet l’ouverture sur une résolution amiable d’un conflit avant de risquer l’enlisement judiciaire.
Mettant en avant l’importance majeure de la médiation conventionnelle dans le monde de l’entreprise, il a précisé que ce système a pour objectifs également d’accélérer le règlement des litiges et conflits, de simplifier les modalités et d’ajuster la position dominante des banques vis-à-vis de leurs clients en difficulté.
S’attardant sur l’importance de ce mode dans les PME, Khalid Benjelloun a, à cet égard, fait remarquer que la médiation permet surtout la flexibilité, la souplesse et la modérabilité des entreprises.
« La PME doit survivre dans un environnement qui est de plus en plus concurrentiel et doit, en conséquence, disposer d’un cadre juridique sain et rassurant », a-t-il fait observer, relevant que les conflits juridiques inhérents à toute activité commerciale sont souvent de vraies contraintes pour l’entreprise et constituent une réelle entrave pour la structure fragile et précaire de la PME.
Il a, dans ce sens, indiqué que la médiation pourrait être considérée comme un facteur de stabilité économique et social plus particulièrement « dans un monde que la crise menace et que la concurrence gouverne », appelant à la promotion de la culture de la résolution du conflit à l’amiable par voie de la médiation.
Pour sa part, Hassan Alami, expert-comptable et médiateur du Compliance Advisor Ombudsman (CAO) au Maroc, a souligné que la médiation constitue « un acte civilisationnel », notant qu’elle est pratiquée aujourd’hui de manière courante et fluide aussi bien par la clientèle du système bancaire que par les banques elles-mêmes.
« Les relations entre le système bancaire, le médiateur et la clientèle sont devenues plus fluides », a t-il fait remarquer, assurant que ce mode alternatif de règlement à l’amiable des conflits est désormais un acquis considérable au Maroc compte tenu de son progrès par rapport à d’autres pays.
De son côté, Zakaria Fahim, président de la commission TPE-PME, GE-PME et auto-entrepreneur à la CGEM, a mis l’accent sur la puissance et la pertinence de la médiation bancaire, affirmant que « la clé du business est de garder une bonne relation avec ses partenaires ».
Selon lui, le banquier est une partie prenante très structurante pour la TPE et la PME, ajoutant que le recours à la médiation bancaire pour régler les litiges permet des gains de temps et de coûts amplement significatifs.
La médiation bancaire développe et améliore les relations pour une plus grande satisfaction des parties, a-t-il indiqué lors de la 3ème Matinale de la Commission TPE-PME, GE-PME et auto-entrepreneur organisée par la CGEM, notant que ce mode alternatif dans la résolution des litiges permet l’ouverture sur une résolution amiable d’un conflit avant de risquer l’enlisement judiciaire.
Mettant en avant l’importance majeure de la médiation conventionnelle dans le monde de l’entreprise, il a précisé que ce système a pour objectifs également d’accélérer le règlement des litiges et conflits, de simplifier les modalités et d’ajuster la position dominante des banques vis-à-vis de leurs clients en difficulté.
S’attardant sur l’importance de ce mode dans les PME, Khalid Benjelloun a, à cet égard, fait remarquer que la médiation permet surtout la flexibilité, la souplesse et la modérabilité des entreprises.
« La PME doit survivre dans un environnement qui est de plus en plus concurrentiel et doit, en conséquence, disposer d’un cadre juridique sain et rassurant », a-t-il fait observer, relevant que les conflits juridiques inhérents à toute activité commerciale sont souvent de vraies contraintes pour l’entreprise et constituent une réelle entrave pour la structure fragile et précaire de la PME.
Il a, dans ce sens, indiqué que la médiation pourrait être considérée comme un facteur de stabilité économique et social plus particulièrement « dans un monde que la crise menace et que la concurrence gouverne », appelant à la promotion de la culture de la résolution du conflit à l’amiable par voie de la médiation.
Pour sa part, Hassan Alami, expert-comptable et médiateur du Compliance Advisor Ombudsman (CAO) au Maroc, a souligné que la médiation constitue « un acte civilisationnel », notant qu’elle est pratiquée aujourd’hui de manière courante et fluide aussi bien par la clientèle du système bancaire que par les banques elles-mêmes.
« Les relations entre le système bancaire, le médiateur et la clientèle sont devenues plus fluides », a t-il fait remarquer, assurant que ce mode alternatif de règlement à l’amiable des conflits est désormais un acquis considérable au Maroc compte tenu de son progrès par rapport à d’autres pays.
De son côté, Zakaria Fahim, président de la commission TPE-PME, GE-PME et auto-entrepreneur à la CGEM, a mis l’accent sur la puissance et la pertinence de la médiation bancaire, affirmant que « la clé du business est de garder une bonne relation avec ses partenaires ».
Selon lui, le banquier est une partie prenante très structurante pour la TPE et la PME, ajoutant que le recours à la médiation bancaire pour régler les litiges permet des gains de temps et de coûts amplement significatifs.
Source: LIBÉRATION